Dans le film, le Grand Seigneur de Duloc transforme le marais de Shrek en camp pour créatures de contes de fées indésirables. Zéro pour les droits de propriété !

Mais alors les droits de propriété de Shrek sont-ils respecté ?

© Shrek (2001) / Andrew Adamson / Vicky Jenson / DreamWorks Amination

Si Shrek avait été en France, et entouré d’autre chose que d’un âne qui meumeume (par exemple : un avocat), ça ne se serait certainement pas passé comme ça…

Car Shrek aurait raison en insistant sur le fait que c’est SON marais : chez nous, même l’État ne peut pas toucher à un droit de propriété, c’est un droit SACRÉ !

Sauf dans un cas particulier…

Si c’est dans le cadre d’un projet d’utilité publique, et seulement s’il ne peut pas être évité, l’État a la possibilité d’exproprier : c’est-à-dire de contraindre quelqu’un à céder sa propriété.

L’expropriation, on en entend parler lors de constructions de nouvelles voies ferrées par exemple.

Mais comme Lord Farquaad transgresse à peu près la totalité de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen en parquant les gens de force dans un marais, pas sûr que ce projet entre dans la case « utilité publique ».

droits de propriété

© Shrek (2001) / Andrew Adamson / Vicky Jenson / DreamWorks Amination

Pour en savoir plus

Ressources en français⁠

Crédits Shrek (2001) / Andrew Adamson / Vicky Jenson / DreamWorks Amination

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